Bonjour à tous, très bon we, chargé tout de même avec 4 plongées et 1 excursion. Au final, beaucoup de requins, et des dauphins! sympa ici, ils jouent avec nous lors des plongées.
Beaucoup de soleil également, et du poisson cru au lait coco extrèmement appétissant! Bref, cet atoll étant l'un des plus garnd et un des spots de plongée le plus riche au monde, je ne em suis pas ennuyé... Photos à mon retour
Après la tempète, le calme... Oui c'est à l'envers, mais ça résume cette semaine!!
Pas grand chose de nouveau, la pluie quand même de manière transitoire je vous rassure. L'océan est un plus froid: je l'ai senti en finissant mon niveau 1 de plongée mardi!!! A 25 degrès et à 25m de profondeur, on sent un peu la différence...
Au programme:
Quart(s) de final demain à 6h du mat (avec le lever de soleil). Espèrons une bonne nouvelle!!!
Puis
départ (Vendredi à 13h) pour Rangiroa jusqu'à dimanche en fin d 'après-midi, une île à 1 h d'avion. le programme est assez simple: 3 plongées programmées avec dauphin, raie manta et.... requins! Pas d'inquiètude, ils sont petits et ne mordent pas.
La semaine dernière, après notre we, une semaine "normale" a repris son cours.
Nico a beaucoup bossé (enfin, ça reste raisonnable, tout de même) parce que les Polynésiens, peu attentifs aux horaires, ne se privaient point de faire des coliques néphrétiques infectées (ça fait mal et ça peut tuer si un brillant urologue ne va pas déboucher tout ça en urgence) tous les jours et à toutes heures du jour et de la nuit ! Donc nous n'avons pas pu nous éloigner trop de l'hôpital (et donc du studio).
Heureusement, le marché annuel des arts polynésiens se trouvait à 3mn des 2 et Nico n'a trouvée aucune excuse (recevable) pour ne pas y aller (2 fois!)! Gnark gnark gnark.... Finalement, j'aurais été plus rusée d'y aller seule, parce qu'il m'a obligé à accélérer la visiste des stands et surtout à très fortement limiter tous mes achats! Tous ces vêtements, ces colliers de coquillages et de graines tropicales, ces chapeaux fait main, toutes ces statues.... que je n'achèterai jamais. Bouhouhouhou...
Nous avons aussi eu la chance de revoir des danses polynésiennes lors de l'ouverture du marché des arts et dans un restaurant. Je suis vraiment vraiment fan. Les filles sont tellement sensuelles et les mecs..... J'adooooooooooore aussi les tatouages polynésiens. Ils sont hyper sexy et beaux (les tatouages. Ne vous m'éprenez pas!)
Comme j'avais beaucoup de temps libre pendant que mon cher et tendre renflouait le compte commun en sauvant des vies et des prostates, j'ai fait un peu de sport (grimpette au belvédère : 4h.... mais courbatures pendant 2 jours!), beaucoup de siestes et j'ai "visité" le spa du Radisson Hôtel Resort sur la côté à quelques km de chez nous. Donc pas mal de détente tout de même!
Malheureusement, le temps est passé beaucoup trop vite et samedi dernier Nico m'a amené à l'aéroport, pour un retour à Dijon long (30h porte à porte!) et fatiguant. Je ne m'en suis toujours pas remise. Mais ça valait le coup. Et je n'aurais pas tenu 1 mois sans voir mon amoureux. Non mais, partir un mois "à l'étranger" sans sa moitié, quelle idée loufoque ! 
Et voilà notre bungalow à nous :
Qui se trouve dans un des plus anciens hôtels de Tahiti, le Royal Tahitien, dans la banlieue nord-ouest de Papeete, à Pirae, juste en face de l'hopital.
Le studio de Nico est celui tout au fond en bas à droite.
Plutôt sympa la piscine....
mais un vrai repère de moustiques, qui piquent à toute heure du jour (même à midi en plein soleil!).
La côte nord-ouest de Tahiti, à quelques km du studio de Nico
Un coq sauvage. Et oui, ici, les coqs et les poules sont retournés à l'état sauvage! On les trouve partout, dans le moindre jardin ou parc, voire dans la rue, mais surtout dans la forêt (tropicale!).
Lors de notre première tentative (infructueuse) de randonnée.
La côte, toujours au nord-ouest.
Un beau chirurgien métropolitain...
Dans le jardin botanique.
Après notre retour de Moorea (snif, snif), nous revoilà à Papeete pour le week-end. Nous en avons profité pour visiter le Musée de Tahiti et ces îles : un peu de géologie, de géographie, de zoologie, d’histoire… Très intéressant, et pas trop grand. Saviez-vous que les petits mammifères voyagent par les ouragans ? Et que les côlons (nos arrières-arrières…..arrières grand-parents) ont interdits aux autochtones leurs danses et leurs chants pendant des années, parce qu’ils étaient « immoraux » ? Pas de quoi être fier de la France… Enfin, bon, passons. Après cette visite instructive, dîner dans le restaurant de la Marina de Papeete, puis petit tour aux concerts de la fête de la musique. Un peu vide, mais bonne ambiance. Groupes locaux : c’est amusant d’écouter des musiques rock avec des paroles en polynésiens (évidemment, nous n’avons rien compris).
Dimanche, après la visite de Nico dans son service (il travaille, lui….), excursion au belvédère au dessus de Pirae (la ville où habite Nico), avec une vue magnifique sur la vallée, l’océan et Moorea. La piste qui y mène n’est pas terrible, au bord d’un précipice. Nico a géré le trajet en voiture très bien, pendant que moi je priais pour que nous nous en sortions entier. Par contre, le dimanche, Papeete, c’est mort et archi-mort. Nous avons lutter pour trouver où manger et nous avons fini à la terrasse des 3 Brasseurs, brasserie locale.
Lundi, Nico a repris le rythme normal, voire un peu plus intense car tout seul dans son service. J’en profite pour glandouiller, me balader dans les environs, tester les bars du coin où je bouquine en sifflotant des cocktails et, parce que je suis une gentille femme au foyer, faire les courses. Ce soir, je tente le gratin de patates douces ; c’est pas gagné (mais ça sera toujours mieux que le crumble sucré aux bananes plantins !)….
Bonjour à tous,
Nico étant d’astreinte ce we, son collègue lui a chaleureusement proposé de prendre un « week-end » anticipé avec sa tendre et chère (=moi). Donc mercredi midi, après ses consultations, nous avons filé au ferry et embarqué (avec la voiture) pour Moorea, l’île juste en face de Pepeete. Une petite 1/2 heure plus tard, nous accostions sur cette île si proche et pourtant tellement plus calme que Tahiti. Pas de grosse ville à Moorea, mais plutôt des villages éparpillés sur la côte, qui reste beaucoup plus naturelle et verdoyante que celle de Tahiti Nui. N’idéalisez tout de même pas trop l’endroit, c’est loin d’être l’île de Robinson Crusoé : il n’existe pas 1 km de côte sans trace de civilisation (au moins sur les ¾ de la périphérie que nous avons visité), ne serait-ce que la route qui fait le tour de l’île, mais pas seulement.
Nico nous avait réservé un bungalow sur pilotis au Sofitel qui se trouve sur la plage de Temae, qui a la réputation d’être la plus belle plage de l’île. Ce serait inutile de vous décrire précisément le paysage enchanteur et la vue incroyable de notre bungalow, les photos parleront d’elles-mêmes. Je ne peux m’empêcher de vous raconter tout de même qu’il y avait une sorte d’hublot au sol de la chambre, par lequel nous voyions passer les poissons… A peine arrivés, nous avons enfilé palmes, masques et tubas (et maillots de bain, quand-même) et plouf…. de notre balcon qui donnait directement dans le lagon ! Fantastique ! Des dizaines de poissons multicolores, minuscules ou vraiment gros, seuls ou en banc, quelques coraux et le tout dans une eau tiède et transparente. A mi-chemin entre la piscine géante et l’aquarium ! Nous en avons profité tous les jours. Nico a même nagé avec une raie ! La chance ! Et dire que j’ai loupé ça parce que je faisais l’écrevisse sur la plage ! Bon, perso, j’ai vu un requin d’au moins un mètre, à quelques mètres de moi, en pleine nuit ! Mais j’étais sur le ponton des bungalows et lui dans le lagon (forcément, les requins se baladent rarement sur les pontons)…. Le dernier jour, nous avons parcouru désespérément le lagon pour recroiser la raie et le requin, mais ça ne devait pas être leur jour ou leur heure de balade. Snif snif…
Mais nos activités sportives ne se sont pas limitées à battre des pieds (avec les palmes). Nous avons un peu découvert l’intérieur de l’île avec 3 petites randonnées à flanc de montagne. La première le long de la route des ananas, où nous nous n’avons jamais vraiment trouvé le bon chemin, qui était mal indiqué (il n’y a pas de balisage de randonnée en Polynésie Française et rarement des panneaux ! Par contre, des chemins transverses, ça, il y en a !), ce qui nous a permis de nous disputer un peu. Il était temps, nous avions failli être contaminés par l’ambiance « bisounours » du coin. J’en profite pour étaler ma culture toute récente. Savez-vous où poussent les ananas ? Oui, sur un arbre, on s’en doute, pas sous terre ni dans la mer. Mais à quoi ressemble une ananassier (je ne sais pas si l’Académie Française valide vraiment ce terme…) ? Personnellement, je voyais ça comme une sorte de palmier, avec des ananas à la place des noix de coco ou des papayes. Et bien pas du tout ! C’est plutôt une sorte de buisson, qui ressemble d’ailleurs aux feuilles au-dessus des ananas, mais en plus gros. Du buisson sort une tige, au bout de laquelle pousse le fruit. On vous mettra une photo, ce sera plus clair. Bon, quoi qu’il en soit, nous avons vu plein de champs d’ananas mais pas le bon chemin. Pour nous rattraper, nous avons fait 2 autres randonnées. Une par un petit chemin dans la forêt tropicale (j’étais un peu inquiète des serpents, jusqu’à ce que j’apprenne hier qu’il n’y avait pas de serpent en Polynésie Française. Chouette !) jusqu’à une jolie petite cascade. L’autre en suivant une route serpentant jusqu’à un belvédère permettant d’admirer les 2 principales baies : la baie de Cook (où venait accoster James Cook, l’explorateur anglais, lors de ses voyages scientifiques dans le Pacifique) et la baie d’Opunohu. Charmantes balades, malgré les attaques répétées des moustiques.
Ces quelques jours ont aussi été l’occasion de goûter quelques spécialités culinaires locales (poisson Mahi Mahi au lait de coco, poissons crus), d’admirer des danses polynésiennes (version touriste, malheureusement, mais ça valait tout de même le coup, surtout les danseurs musclés, tatoués et en pagnes 
, idem avec les danseuses et leurs colliers de fleurs 
), de glandouiller au soleil et de regarder les 5 buts de la France contre la Suisse (pour Nico).
Malheureusement, il a bien fallu revenir à Tahiti, mais nous garderons en tête ces images de carte postale de Moorea !
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